Ma-libido-pas-lambda - 'Eux' sont mes envies. Et moi, mon manque de retenue.

Un cygne

Wed, 25 Mar 2015 23:48:00 +0100

Dis moi, tu crois que c'est nous qui choisissons les signes ?

Genre une nana m'a demandé en ami. Je ne la connais pas. Et me voici avec '23 amis'.
Et voilà que deux jours après, je mets un statut.

"Ah un jour je partirais dans les Vosges. Oh un jour les animaux qui voudront être libre vont me suivre. Uh vont-ils dire. Et un jour, dans mon paradis du sud, animaux et humains seront en harmonie, dans mon petit village."

Et là elle qui commente : Bonjour Funambule, au plaisir.

Bon faire un tour et voir qu'elle fait partie de l'assoc' BB, qu'elle milite pour le véganisme, et qu'elle habite dans les Vosges.

Prenez moi pour une folle ou non, mais j'y vois un 'cygne'.

Le lapin galope

Wed, 07 Jan 2015 03:16:00 +0100

Après un énième épisode de New Girl, je vais certainement aller me coucher. Des fois je veux qu'on arrête. La seconde d'après je me dis que je ferais avec. J'ai plus de thunes. Mes soirées solo vin et série me manquent. Dans peu de temps je vais prendre prendre soin de moi, enfin de mon avenir.

Et puis fuck.
D'façon, avec ou sans.
Je vais y arriver.

Il est grand mon bateau
vers la vie.

. . .

Hum.

Mon, 05 Jan 2015 22:14:00 +0100

CONNARD

Tu sais, j'arrive tellement à foutre mon égo de côté avec toi
Que ça en devient magique.

Je pourrais en faire un métier.

Leurre du bilan

Mon, 05 Jan 2015 21:10:00 +0100

Tu n'es pas impliqué. Le mensonge, encore. Ou pas. J'en sais rien, mais tu sais, moi non plus je n'ai pas confiance. Plus confiance. Tu me parles d'amour, je suis loin de toi et ça te frustre. En attendant, au lieu de me parler de belles choses, fais, toi aussi, en sorte que tout cela change. Sinon, je vais encore disparaître.

Il faut un jour que je pense à moi.
Ma résolution alors ? Celle-ci....
Même si ça me peine.

Il était 'un' fois

Wed, 17 Dec 2014 07:41:00 +0100

J'ai 24 ans. Et parfois je trouve des enfants. Pourtant je n'en veux pas. J'ai 24 ans, et pourtant j'aime bouger, j'aime escalader des choses. Et ces jeunes : Non. Je ne sais plus vraiment où j'en suis. Je repense à Christian, et je le comprends. Plus je vieillis, et plus je galère. Mais où sont tout ces gens si bien ? Où est ma vie d'avant ? Parfois il est là, souvent non. Je veux vivre, je veux réussir et être heureuse. Mais les gens autour font un tout, un tout qui me névrose. Une vie qui ne me convient pas. Je veux être surprise, mais ça n'arrive que rarement. Il est là, et là je ne me sens pas moi-même. Je souhaiterais m'aider. Je veux être libre, être heureuse, mais apparement ce n'est pas faisable. Emprisonnée dans une vie qui n'est pas la mienne. Je me mets en danger sans savoir pourquoi, pour l'adrénaline, pour oublier ma vie, je n'en sais rien. Il est là, et je sens des bouffées de chaleur, sans comprendre. Il me mets mal à l'aise. Je souhaiterais tellement avoir une vie saine et celle que je veux, mais tout le monde sait que ce n'est pas facile alors je lutte, je bois trop, je fume trop, et je ne sais plus quoi faire de mes journées. Je ne sais pas comment me sentir libre. Je n'arrive plus à respirer. Et tout autour de moi semble s'effondrer. Ils ne tiennent rien du tout. Et honnêtement...c'est tellement drôle. Finalement on ne se rend pas compte des petites choses. Même celles qui font plaisir. J'ai passé un paragraphe à raconter n'importe quoi. Parce qu'il est plus facile de se sentir mal que d'être heureux. Finalement, il suffit d'accepter les choses comme elles sont, sans forcement se prendre la tête, même si tout cela est difficile et que l'on aimerait être autre part. Non, je suis totalement à côté. Je raconte n'importe n'importe quoi. Je suis bien, quand je suis seule. Pardon, Pitié, laissez moi seule un instant. Laissez moi vivre.......Laissez moi être moi-même.

Si ça ne tenait qu'à moi,
Je serais seule, avec mes animaux.
Laissez moi Vivre....
Pitié.

Le chat et la souris

Mon, 15 Dec 2014 11:02:00 +0100

Trois jours que je n'avais pas donné de nouvelles. Et tu m'as défié à DuelQuiz. Ce n'était pas grand chose, mais tu m'as prouvé que je te manquais quand même. Tu m'as envoyé un message deux jours après. Depuis on a repris le même rythme qu'à ton arrivée. J'aime ça. Mais ce que j'aime plus particulièrement ce sont tes rires, et la façon que tu as de me faire l'amour. Nous avons décidé de courir trois fois par semaine, et ce depuis vendredi. Après nos nuits blanches, c'est toujours très marrant. Tu m'as étonné quand tu as voulu prendre du speed. Toi qui ne touche qu'à l'alcool. J'étais étrangement inquiète pour ta première. Cette nuit tu étais parti te coucher. Et je m'apprêtais à partir. Quelle surprise de te voir devant moi, m'expliquant que tu m'attendais. Nos rapports changent. Je ne sais pas si tu t'en rends compte. C'est doux, cette impression de relation 'normale', comme si tout était logique. Et la manière dont tu m'as prise cette nuit avait ce petit quelque chose de sensuel et romantique. Même si tes 'sentiments' s'arrêtent soit disant aux rapports charnels. Tu repars bientôt chez toi pour deux semaines. Je ne sais pas si je vais te manquer. Je n'ai envie que de toi. Et ta jalousie est étonnante. Le mieux là dedans étant le fait que tu ne la caches pas lorsque nous sommes dans ton lit.

Je te le dis tout net.
Je pourrais passer ma vie à t'avoir en moi.

Je suis paumée sans ton odeur

Tue, 09 Dec 2014 05:00:00 +0100

Je ne t'ai pas vu aujourd'hui. Ton odeur me manque. Et j'ai fait n'importe quoi la nuit dernière. Je l'ai frappé. Tout aurait pu bien se passer. Et maintenant je sais que nos jeux ne seront plus possible. Je vais déménager. Parce que je fuis chaque fois que j'ai honte. Si seulement il était possible de revenir en arrière. Tu ne me verras plus de la même manière. Et moi non plus, je ne me suis pas reconnue. J'adorais ton rire, tes pics, ton odeur. Même si le fait d'être en couple me freinait. J'avais tellement d'espoir. Et d'envies. Tu es pourtant si proche de moi. De mes bras se dégage l'odeur de ton corps, et mon estomac se rétracte et souffre. Il serait tellement simple de suivre ce que l'on ressent. Sans mettre de côté qui que ce soit. Pourquoi ai-je tout gâché ? Et l'autre, cet enfant qui n'a rien compris, et ne fait pas parti de mon trio infernal. Casse-toi. Laisse moi vivre comme bon me semble. Nous quatre sommes tellement proche que j'aurai du savoir. Je n'aurai pas du commencer ce petit jeu pourtant tant excitant. Je descendrai désormais ces escaliers dans la crainte que quelqu'un sorte. Et puis, il n'y avait pas que le sexe. Je m'amusais, et tu étais terriblement chiant. Comme j'aime. On a parfois de mauvaises surprises. J'aurai du être plus discrète ? Je ne crois pas. Ca n'aurait rien changé. Alors cette nuit là, j'ai traîné dans un appartement inconnu, qui sentait l'urine.

Maintenant, je veux fuir.
Et trouver la paix.
Après tout, ce n'est qu'un jeu. Rien n'est perdu.